
L’année parlementaire en huit dates
Ligne du temps des moments marquants à l’Assemblée nationale depuis la reprise, en décembre 2022.
Analyse François Legault n’a pas présenté d’excuses pour avoir biffé le troisième lien routier Québec-Lévis de son programme.
Les documents rendus publics dénotent «un manque de rigueur» dans la gestion du projet, selon un expert.
L’ex-maire de Québec assimile la conversion au transport collectif de Geneviève Guilbault à «Hulk qui s’est transformé».
Les concernés seraient surtout ceux atteints d’un cancer ou d’une maladie rare.
Des enfants sont venus interpeller la ministre des Transports à l’Assemblée nationale, à l’initiative des oppositions.
Éduc’Alcool et le SPVM prévoient distribuer 10 000 protège-verres afin de prévenir les intoxications au GHB.
L’élu de la région de Québec avait mis son siège en jeu sur la question du projet entre Québec et Lévis.
Les propos de la ministre Guilbault contredits par son propre ministère.
L’APNQL conteste la Loi sur la langue officielle et commune du Québec, le français, devant la Cour supérieure.
Le ministre Ian Lafrenière a déposé jeudi le deuxième rapport concernant la loi sur les enfants autochtones disparus.
La ministre des Transports affirme que la pandémie a modifié les débits de circulation, ce que nie son ministère.
Balado «Deux élus sur 125 m’ont écrit.» L’élue dit avoir eu peu de soutien du Parlement après l’arrestation de son agresseur.
La mairesse de Longueuil affirme s’être sentie seule après l’arrestation de son agresseur, Harold LeBel.
Un député gagnerait environ 30 000$ de plus par an, et un ministre, 50 000$ de plus.
Le gouvernement interdira la vente des produits comportant une saveur autre que celle du tabac.
«Aucun lieu» d’une école publique ne doit être utilisé pour prier, tranche le ministre de l’Éducation.
Éric Caire et plusieurs de ses collègues ont été invités à démissionner par des partisans du projet autoroutier.
Les gestionnaires du réseau de la santé ne veulent toutefois pas «tout se faire dicter».
Le ministre de l’Éducation lance un programme de 55,6 millions de dollars sur cinq ans pour «valoriser le français».
Des voix s’élèvent pour que les enjeux environnementaux soient davantage abordés dans le cursus scolaire.