
La Pologne ne veut plus livrer d’armes à l’Ukraine, en plein conflit sur les céréales
La déclaration de mercredi soir par Varsovie illustre les tensions de plus en plus vives entre les deux alliés.
La déclaration de mercredi soir par Varsovie illustre les tensions de plus en plus vives entre les deux alliés.
La troisième phase de la promenade Samuel-De Champlain, à Québec, pourrait inspirer d’autres accès similaires au fleuve.
Selon les gardes-frontières polonais, 19 000 migrants ont tenté d’entrer en Pologne depuis le début de l’année.
Des dirigeants biélorusses avaient tenté de la faire monter de force dans un avion lors des Jeux de Tokyo.
Ils paraissent loin, ces temps de liesse où déloger le despote de Minsk semblait à portée de main.
À la frontière polono-biélorusse, des migrants sont coincés dans la «zone de la mort».
L’adhésion de la Suède et de l’Ukraine ainsi que les dépenses militaires seront au cœur des discussions.
Près de 500 000 personnes ont manifesté dimanche dans les rues de Varsovie, du jamais vu depuis la fin du communisme.
Plusieurs pays de l’UE sont prêts à fournir ces avions de chasse à l’Ukraine, selon le chef de la diplomatie européenne.
«Du jour au lendemain, je suis devenue orpheline, sans toit.»