
Le Saint-Laurent souffre déjà du réchauffement climatique
Les scientifiques constatent une baisse de l’oxygène et une hausse marquée des températures.
Les scientifiques constatent une baisse de l’oxygène et une hausse marquée des températures.
Il ne resterait que 250 de ces cétacés dans le nord-ouest de l’océan Atlantique.
Une mission scientifique doit étudier les habitudes de ces cétacés dans le Saint-Laurent.
Transports Canada applique une mesure préventive d’urgence instituant une limitation temporaire de vitesse de 10 noeuds.
Le bilan s’apparente à celui constaté à pareille date lors de l’hécatombe de 2017.
On compte 11 de ces milieux marins protégés dans la portion québécoise du golfe du Saint-Laurent.
Maintenant en voie de disparition, l’espèce avait pourtant été désignée comme menacée en 2005.
L’histoire remonte à 2016 lorsque M. LeBlanc était au ministère des Pêches et Océans.
La situation pourrait nuire aux bélugas qui vivent dans le parc marin.
Les pêches aux poissons de fond, au homard, au crabe, au maquereau et au hareng sont touchées.