
Maxime Olivier Moutier, en performance
Critique « Journal d’un étudiant en histoire de l’art » : une autofiction en trompe-l’oeil.
Critique « Journal d’un étudiant en histoire de l’art » : une autofiction en trompe-l’oeil.
Les experts soupçonnaient depuis des années qu’une autre peinture se cachait sous la toile de 1901.
Quelques intuitions historiques pour développer notre édition photographique.
On fait souvent état encore aujourd’hui au Québec de l’absence d’une solide tradition...
Pas une histoire de l'art, mais des histoires de l'art: celle officielle versus celles, dans la marge, qui...
Après avoir dégagé puis révélé l'âme de la métropole dans le...