
La souffrance de l’isolement modifierait l’anatomie du cerveau
Les traces d’une vie solitaire non désirée sont plus prononcées dans le cerveau des hommes que dans celui des femmes.
Les traces d’une vie solitaire non désirée sont plus prononcées dans le cerveau des hommes que dans celui des femmes.
Notre besoin de socialisation et de compagnie serait aussi fondamental que notre besoin de nous alimenter.
Le bordereau d’expédition indique qu’il s’agit d’un «spécimen d’enseignement antique».
Le but est d’orienter les patients vers les meilleures options de traitement.
La pratique sérieuse d’un sport semble se traduire par un système nerveux plus calme.
Certaines zones du cerveau seraient plus faibles chez les enfants qui consacrent le plus de temps à un écran.
Ces bienfaits pourraient persister au-delà de l’accouchement et avoir un impact sur le vieillissement neurobiologique.
Une étude montre des différences par rapport à un groupe témoin, sans pouvoir dégager une cause aux symptômes.
Un dispositif permet de traduire la pensée à partir des signaux électriques de l'organe.
Notre conception scientifique de la mort ne devrait pas pour autant être chamboulée, selon des spécialistes.