
Les Palestiniens ont remis aux Américains la balle ayant tué Shireen Abu Akleh
La journaliste américano-palestinienne avait été tuée en mai dernier.
Une commission d’enquête conclut à un conflit «asymétrique» avec «un État qui en occupe un autre».
Au début du mois, les talibans ont émis un ordre selon lequel les femmes devaient se couvrir entièrement en public.
Des Palestiniens se sont rassemblés dimanche pour marquer la «catastrophe», 74 ans après la création de l’État d’Israël.
Il s’agit des premières législatives depuis l’explosion dévastatrice au port de Beyrouth le 4 août 2020.
Les images de la charge de la police circulant en boucle sur les réseaux sociaux ont provoqué un tollé international.
La journaliste vedette d’Al Jazeera a été tuée par balle en Cisjordanie où elle couvrait un raid militaire israélien.
Une famille américaine a créé la panique à l’aéroport de Tel-Aviv.
Seuls les musulmans peuvent prier sur ce lieu saint, mais pas les fidèles des autres religions
Deux rassemblements en extérieur, l’un à Ankara et l’autre à Istanbul, n’ont pu avoir eu lieu.
Un enfant est décédé et 45 personnes ont été secourues près de la côte de la ville de Tripoli, au Liban.
Certains craignent une répétition du scénario de mai dernier qui avait mené à onze jours d’affrontements.
Cinq pays européens ont appelé au respect du «statu quo des lieux saints».
La nouvelle escalade des tensions israélo-palestiniennes met à mal la coalition hétéroclite au pouvoir.
Avec ce quatrième attentat en deux semaines dans l’État hébreu, le nombre de victimes est porté à quatorze.
Le chef de la Ligue musulmane devra affronter les mêmes problèmes qui ont coûté son siège à son prédécesseur.
Les Yéménites espèrent un répit de cette guerre qui dure depuis plus de sept ans.
Les Nations unies ont annoncé qu’une trêve de deux mois, avec possibilité de la prolonger, commencerait samedi.
Le pays craint une vague de violence après une troisième attaque en une semaine.
L’armée idéologique de la République islamique figure sur la liste américaine des organisations terroristes.
Depuis leur prise de pouvoir, les fondamentalistes multiplient les restrictions envers les Afghanes.