
Le premier ministre arménien dénonce une tentative de putsch
Pachinian est sous la pression de l’opposition et de manifestations récurrentes à cause de la défaite au Haut-Karabakh.
Cette escalade de la violence intervient après la mort d’une jeune épicière de 20 ans blessée par balles le 9 février.
L’armée fait la sourde oreille aux condamnations de la communauté internationale.
Ils gagnent aussi des «fans» sur les réseaux sociaux avec leurs affiches colorées, pleines d’esprit et explicites
Aung San Suu Kyi a de nouveau été inculpée, au grand dam des États-Unis.
La contestation perd un peu de vigueur devant l’intensification de la répression.
Plus d’une centaine de blessés ont été rapportés, mais aucun décès n’a été constaté.
Rangoun a été prise d’assaut par des manifestants demandant la libération d’Aung San Suu Kyi.
Les contestataires étaient de nouveau très nombreux à défiler contre le putsch du 1er février.
Les jeunes femmes de moins de 40 ans seraient obligées de demander l’autorisation de leur famille dans certains cas.
Les manifestations se déroulaient dans le calme mercredi, alors que la veille la répression était montée d’un cran.
Les sauveteurs redoublaient d’efforts pour tenter de sauver les victimes bloquées dans un tunnel.
L’hypothèse «la plus probable» demeure celle d’une transmission du coronavirus d’un premier animal à un deuxième.
La loi martiale a été décrétée dans plusieurs villes du pays, en proie à de larges manifestations.
On compte maintenant au moins 26 morts et 170 disparus.
Une semaine après le coup d’État, des manifestations d’une ampleur inédite depuis 2007 se multiplient.
L’énorme masse d’eau a dévasté la vallée de la rivière Dhauliganga, détruisant tout sur son passage.
Il s’agit du plus gros rassemblement depuis le coup d’État contre Aung San Suu Kyi.
L’accès à Twitter a été restreint, deux jours après Facebook, pour faire taire les contestataires.
Les appels à la désobéissance civile se multiplient au Myanmar.