Le Devoir a parcouru en septembre le bien-nommé « couloir de la sécheresse » en Amérique centrale, du Guatemala au Honduras en passant par le Salvador. Parce qu’aux causes entendues et entremêlées de la migration centraméricaine vers le nord — violence, chômage, corruption — s’en greffe une autre, de plus en plus déterminante : la crise climatique, qui frappe de plein fouet le monde rural.