![Pour adapter «Le roman de monsieur de Molière» de l’écrivain russe Mikhaïl Boulgakov, le transposer sur la scène du TNM, Lorraine Pintal a requis le savoir-faire de Louis-Dominique Lavigne. «J’ai accepté l’offre de Lorraine [Pintal] avant même d’avoir lu le livre, explique-t-il. Parce qu’on se connaît depuis 40 ans et que j’apprécie beaucoup son travail, mais aussi parce que j’avais dévoré](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_878453_699956/image.jpg)
Louis-Dominique Lavigne chez les satiristes
L’auteur raconte comme il prépare soigneusement une rencontre entre Molière et Boulgakov.
Regard sur un théâtre qui survit.
Le Conseil québécois du théâtre fait état des défis que vit présentement le milieu théâtral d’ici.
Daniel Brière et Daniely Francisque capturent la parole libérée des gérants d’estrade, entre le Québec et la Martinique.
Résidences, captation et création: le milieu se retrousse les manches.
Le théâtre jeunes publics s’organise pour faire vibrer les enfants là où ils sont.
La roue de la création et de la réflexion continue de tourner dans les théâtres.
Sept mois après la lettre envoyée au gouvernement dans le cadre du mouvement Pour les arts vivants, où en sommes-nous?
À force d’initiatives résilientes, le milieu fait un pied de nez à la pandémie.
Le Centre national des arts d’Ottawa passe à un commissariat annuel en arts vivants.
Envie de retourner au théâtre? Voici quelques suggestions pour vous faire patienter.
Lorraine Pintal a confronté l’actrice à une démesure absolue avec son adaptation de «L’avalée des avalés».
Ricard Soler Mallol met en cause la spirale de la croissance à tout prix avec le concours du Projet bocal.
Le créateur propose une réponse théâtrale à la distanciation sociale avec «Vers solitaire», une déambulation sonore.
Réflexion de groupe sur l’impact du mémorable numéro de l’humoriste, présenté il y a 25 ans.
Le dramaturge raconte l’épineux ménage à trois au centre d’«Adieu, Monsieur Haffmann», présenté au Rideau Vert.
Les deux acteurs signent une version de «King Dave» au diapason de l’air du temps.
Spectacles, laboratoires, lectures, déambulatoires permettent le retour des arts vivants après des mois de gel.
Critique «Zebrina, une pièce à conviction» raconte l’histoire d’un homme isolé qui ouvre enfin son regard sur le monde.
Son directeur artistique espère que le théâtre pourra servir à affronter le mal-être provenant du confinement.
Le Théâtre Jean-Duceppe reprend le solo interactif «Toutes les choses parfaites» dans une version adaptée à la pandémie.