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L’insolite du poulet

L’insolite du poulet

Poulet à la plaque avec pommes, courges et crumble de noix.
Photo: Poulet à la plaque avec pommes, courges et crumble de noix.
Un tour d’horizon et quelques faits pour mieux connaître son poulet.

URBANIA et Le Poulet du Québec s’associent pour vous faire découvrir l’histoire et les secrets de votre viande préférée !

Un jour, en 1598, le roi de France Henri IV a déclaré : « Je veux que chaque laboureur de mon royaume puisse mettre la poule au pot le dimanche. » Et 330 ans plus tard, en 1928, le candidat à la présidence des États-Unis Herbert Hoover faisait une promesse semblable lors de sa campagne électorale !

Dans notre société, en plus d’être un pilier de notre alimentation, le poulet est devenu un symbole. Plus encore, c’est un des rares trucs sur lesquels s’entendent à peu près toutes les religions et cultures : peu importe où vous allez dans le monde, vous trouverez un plat de poulet sur des tables familiales le dimanche.

On en consomme beaucoup, mais les gens en savent curieusement peu sur cet animal qui fait pourtant partie de leur quotidien. Ces dernières années, le poulet est un peu devenu mon dada, et je ne cesse de découvrir de nouveaux faits sur les rejetons de notre bien-aimée gallus domesticus. Et puisque je crois qu’il n’y a rien de mieux pour bien apprécier un aliment que d’apprendre à mieux le connaître, voici cinq choses que je crois que tout le monde devrait savoir sur le poulet.

La poule voyageuse Ce sont les navigateurs polynésiens qu’on doit remercier pour la migration de la poule. Originaire des la vallée de l’Indus, l’oiseau s’est mis à voyager progressivement dans le reste du monde environ 4 000 ans avant notre ère.

Après de nombreuses péripéties, la poule s’est retrouvée à peu près partout dans le monde au début du 17e siècle, le plus souvent appréciée pour ses œufs, sa viande n’étant qu’un heureux sous-produit, une fois qu’elle avait terminé son cycle de ponte.

Aujourd’hui, sa viande est consommée dans tous les pays, se retrouvant braisée dans les marmites africaines, frite dans les États du Sud, ou tout simplement tournée à la broche et accompagnée d’une montagne de frites chez notre rôtisseur québécois préféré !

Le coq gladiateur De nos jours, lorsqu’on entend le mot « poulet », on pense instinctivement à un repas. Mais avant d’avoir une connotation nourricière, la poule était d’abord et avant tout élevée pour ses habiletés de guerrière ! C’est du moins le consensus auquel arrivent progressivement un nombre grandissant d’experts et d’archéologues.

Au cinquième siècle avant Jésus-Christ, les Grecs ont fait du coq un symbole de la bravoure et de la vaillance. Pas étonnant, donc, que gallus domesticus ait donné son nom aux Français, les Gaulois, et que le coq soit encore à ce jour le symbole de la République. Fun fact, les premiers présidents américains s’adonnaient aux joies des combats de coqs, à tel point que cet animal a failli devenir l’emblème des États-Unis, jusqu’à ce que l’aigle occupe cette place de choix.

Bien entendu, les combats de coqs sont maintenant illégaux dans la plupart des pays, et considérés comme inhumains. Et, rassurez-vous, les races de poules modernes qui se retrouvent dans votre assiette sont bien moins belliqueuses (et bien mieux traitées) !

On vous a menti, les poules ont des dents Bon OK : là aussi j’ai menti. Elles n’ont pas des dents, mais bien une seule. Comme la plupart des descendants des dinosaures, les poules sont des ovipares. Les bébés se forment dans des œufs, desquels ils doivent s’extraire lorsqu’ils sont prêts. Pour ce faire, l’évolution leur a laissé une dent, qui se forme durant la gestation.

On l’appelle le « diamant », ou plus poétiquement la « dent de délivrance », et le poussin l’utilise pour percer la petite membrane qui le sépare de la coquille, afin d’avoir accès à un tantinet d’oxygène pendant quelques heures. Par la suite, elle l’aide à percer la coquille, pour enfin éclore et sortir de l’œuf. Soit le poussin la perd quelque temps plus tard, soit elle se calcifie dans le bec de l’oisillon à mesure qu’il grandit.

Poulet poché et panzanella de tomates et fenouil.
Une grande famille Les poules sont, de loin, les animaux destinés à la consommation alimentaire les plus populaires. Et si leur élevage tel qu’on le connaît aujourd’hui est relativement nouveau, on s’affaire depuis longtemps à s’assurer d’avoir des poulets !

Les Égyptiens ont parfait pendant un millénaire des techniques d’incubation artificielle, construisant de vastes réseaux complexes de centaines de larges chambres, reliées par des corridors et des trous d’aération. Ils y gardaient des œufs à une température à peu près constante de 38 degrés Celsius à l’aide de feux de paille, grâce à une technique gardée secrète pendant longtemps.

De nos jours, on compte près de 400 espèces de poules différentes en élevage, certaines pour la ponte et d’autres pour leur chair. Et le Québec a même sa propre race patrimoniale : la poule Chantecler.

Fait intéressant : après sept croisements de races, gallus domesticus revient à son état originel de gallus gallus !

Un élevage de plus en plus durable En 2018, les éleveurs de poulets partout au Canada ont procédé à une analyse du cycle de vie des poulets et en ont tiré plusieurs conclusions, qui guideront l’avenir de l’industrie au pays.

On a notamment constaté qu’au cours des quatre décennies précédentes, les éleveurs avaient réussi à améliorer de 20 % le taux de conversion alimentaire de leurs poulets en adaptant leur alimentation. Cela veut dire qu’il faut maintenant moins de grains pour obtenir le même poids de viande au final, donc que moins de terre arable est utilisée pour la production de grains.

La consommation d’énergie non renouvelable a quant à elle baissé de 37 % au courant de la même période, et il en va de même pour l’empreinte carbone de l’industrie. Si on la compare au reste du monde, l’élevage de poulets au Canada a l’une des empreintes carbone les plus faibles. De plus, il nous offre différentes options afin de répondre à nos envies et à nos besoins, comme des poulets sans antibiotiques, bios, ou encore nourris aux grains dits végétaux, c’est-à-dire sans ajouts de sous-produits animaux !

De plus, le poulet du Québec est toujours élevé sans hormones et dans des conditions humaines et salubres, pour une viande de la plus haute qualité.

L’empreinte carbone de l’industrie a été réduite de 37 % au cours des 40 dernières années, alors que la consommation d’eau a chuté de 45 %. D’un point de vue environnemental, le poulet est le choix de viande le plus écoresponsable en épicerie !

Vous souhaitez en savoir plus sur votre prochain repas ?
Rendez-vous sur lepoulet.qc.ca

Ce contenu a été produit par l’équipe des publications spéciales du Devoir en collaboration avec l’annonceur. L’équipe éditoriale du Devoir n’a joué aucun rôle dans la production de ce contenu.

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