Quelles seront les grandes tendances immobilières en 2020?

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L’année 2019 s’est distinguée par un marché immobilier sous tension avantageant plus que jamais les vendeurs. L’année 2020 se poursuivra-t-elle sur cette lancée? À titre d’expert en immobilier depuis plus de trente ans à Montréal, Georges Bardagi partage ses prévisions sur les grandes tendances immobilières pour cette année.
Avec son économie dynamique et son marché de l’emploi prospère, Montréal attire de plus en plus de jeunes travailleurs et de familles souhaitant devenir propriétaires. Les taux d’intérêt sont historiquement bas et stables et encouragent l’investissement.
« On constate depuis quelques années que l’offre est basse et la demande élevée, explique Georges Bardagi. Cette situation provoque donc un phénomène de surenchère. Il n’est plus rare qu’une propriété que nous avons mise sur le marché au bon prix avec un marketing de qualité se vende en offres multiples. »
Malgré cette situation, M. Bardagi estime que la progression des prix devrait être plus modérée dans la deuxième moitié de l’année en raison de la possibilité d’une correction boursière ainsi que de l’incertitude politique des élections américaines.
Prêts pour la course aux copropriétés?
Tous les indices indiquent que la demande pour les copropriétés sera en forte croissance cette année. Notre équipe a observé plusieurs profils d’acheteurs. Les retraités et la génération des baby-boomers en constituent un. Leurs enfants partis du nid, ils souhaitent maintenant déménager dans des logements plus petits. Leur choix s’arrête sur des unités ayant un indice Walk Score élevé (un outil qui mesure le potentiel piétonnier d’un milieu), car elles sont situées à proximité des commerces et des activités et offrent des services tout inclus (gym, piscine, service de voituriers, salles communes, etc.).
Les acheteurs étrangers font aussi partie des profils qui reviennent souvent. Aujourd’hui, plus de 10 % des résidences du centre-ville sont acquises par des acheteurs étrangers. Montréal offre une occasion d’investissement pour eux, car leur achat n’est, pour l’instant, pas soumis à des taxes supplémentaires comparativement à d’autres grandes villes canadiennes comme Toronto et Vancouver.
Enfin, les millénariaux, qui sont de premiers acheteurs la plupart du temps, figurent aussi parmi les profils fréquents d’acheteurs de copropriétés, car celles-ci sont souvent plus abordables qu’une maison ou un plex. Grâce aux aides gouvernementales comme le RAP (régime d’accession à la propriété), qui a augmenté à 35 000 $ cette année, ou encore à l’incitatif à l’achat d’une première propriété, les premiers acheteurs peuvent se constituer plus facilement une mise de fonds et entrer eux aussi dans le ring.
Face à cette demande qui s’accélère, les promoteurs immobiliers amènent le centre-ville de Montréal dans une course à la construction. « Les gratte-ciel résidentiels du centre-ville s’élèvent à un rythme effréné, et c’est à celui qui sera le plus haut en ville! » constate Georges Bardagi. « Comme les acheteurs de condos neufs doivent attendre de deux à trois ans avant de pouvoir occuper leurs unités, ils sont impatients. Si vous avez acquis un condo dans les cinq dernières années et que vous souhaitez le revendre, nous avons des acheteurs pour vous! » affirme M. Bardagi.
Tout porte donc à croire que les copropriétés auront la cote en 2020!
Votre quartier est-il trendy?
Les mots « mobilité urbaine » et « transports collectifs » résonneront fort cette année avec la mise en place des grands aménagements urbains comme le REM (Réseau express métropolitain) et la prolongation de la ligne bleue.
En tant qu’expert de Montréal, le fondateur de l’équipe Bardagi observe l’impact du REM sur le secteur de la ville de Mont-Royal. « Nous recevons de plus en plus d’appels de résidents qui se questionnent sur la valeur future de leur propriété située proche d’une gare du REM, explique-t-il. L’expertise de mon équipe et notre grande connaissance du quartier nous permettent aujourd’hui de les guider vers la bonne stratégie à envisager s’ils souhaitent vendre leur propriété. Il est évident que le REM jouera un rôle majeur dans l’évolution du marché immobilier de Montréal. »
D’autres quartiers sont aussi en pleine mutation. « Le secteur de Parc-Extension en est un bon exemple, continue M. Bardagi. Depuis la construction du campus de l’Université de Montréal près de nos bureaux à Outremont, de nombreuses familles veulent s’y établir. Il est certain que cette zone prend de la valeur de jour en jour. »
Montréal reste donc dans les cinq premiers marchés immobiliers à surveiller en 2020 avec Vancouver, Toronto, Ottawa et Halifax.
L’année devrait donc offrir des occasions favorables autant aux acheteurs qu’aux vendeurs. Par ailleurs, si vous êtes vendeur, sachez que vous avez jusqu’au mois d’avril pour contester votre nouvelle évaluation municipale. L’équipe d’experts de Bardagi peut vous aider dans votre démarche en vous fournissant les transactions comparables des ventes de votre secteur.
Contact : conseil@bardagi.com
www.bardagi.com
– Bond des ventes résidentielles totales de 13 %
– Bond des ventes résidentielles au mois de décembre de 26 %
– Prix médian des unifamiliales : +4 %
– Prix médian des copropriétés : +7 %
– Recul du nombre d’inscriptions en vigueur : -21 %
Source : Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ)
L’année 2019 s’est distinguée par un marché immobilier sous tension avantageant plus que jamais les vendeurs. L’année 2020 se poursuivra-t-elle sur cette lancée? À titre d’expert en immobilier depuis plus de trente ans à Montréal, Georges Bardagi partage ses prévisions sur les grandes tendances immobilières pour cette année.
Avec son économie dynamique et son marché de l’emploi prospère, Montréal attire de plus en plus de jeunes travailleurs et de familles souhaitant devenir propriétaires. Les taux d’intérêt sont historiquement bas et stables et encouragent l’investissement.
« On constate depuis quelques années que l’offre est basse et la demande élevée, explique Georges Bardagi. Cette situation provoque donc un phénomène de surenchère. Il n’est plus rare qu’une propriété que nous avons mise sur le marché au bon prix avec un marketing de qualité se vende en offres multiples. »
Malgré cette situation, M. Bardagi estime que la progression des prix devrait être plus modérée dans la deuxième moitié de l’année en raison de la possibilité d’une correction boursière ainsi que de l’incertitude politique des élections américaines.
Prêts pour la course aux copropriétés?
Tous les indices indiquent que la demande pour les copropriétés sera en forte croissance cette année. Notre équipe a observé plusieurs profils d’acheteurs. Les retraités et la génération des baby-boomers en constituent un. Leurs enfants partis du nid, ils souhaitent maintenant déménager dans des logements plus petits. Leur choix s’arrête sur des unités ayant un indice Walk Score élevé (un outil qui mesure le potentiel piétonnier d’un milieu), car elles sont situées à proximité des commerces et des activités et offrent des services tout inclus (gym, piscine, service de voituriers, salles communes, etc.).
Les acheteurs étrangers font aussi partie des profils qui reviennent souvent. Aujourd’hui, plus de 10 % des résidences du centre-ville sont acquises par des acheteurs étrangers. Montréal offre une occasion d’investissement pour eux, car leur achat n’est, pour l’instant, pas soumis à des taxes supplémentaires comparativement à d’autres grandes villes canadiennes comme Toronto et Vancouver.
Enfin, les millénariaux, qui sont de premiers acheteurs la plupart du temps, figurent aussi parmi les profils fréquents d’acheteurs de copropriétés, car celles-ci sont souvent plus abordables qu’une maison ou un plex. Grâce aux aides gouvernementales comme le RAP (régime d’accession à la propriété), qui a augmenté à 35 000 $ cette année, ou encore à l’incitatif à l’achat d’une première propriété, les premiers acheteurs peuvent se constituer plus facilement une mise de fonds et entrer eux aussi dans le ring.
Face à cette demande qui s’accélère, les promoteurs immobiliers amènent le centre-ville de Montréal dans une course à la construction. « Les gratte-ciel résidentiels du centre-ville s’élèvent à un rythme effréné, et c’est à celui qui sera le plus haut en ville! » constate Georges Bardagi. « Comme les acheteurs de condos neufs doivent attendre de deux à trois ans avant de pouvoir occuper leurs unités, ils sont impatients. Si vous avez acquis un condo dans les cinq dernières années et que vous souhaitez le revendre, nous avons des acheteurs pour vous! » affirme M. Bardagi.
Tout porte donc à croire que les copropriétés auront la cote en 2020!

Votre quartier est-il trendy?
Les mots « mobilité urbaine » et « transports collectifs » résonneront fort cette année avec la mise en place des grands aménagements urbains comme le REM (Réseau express métropolitain) et la prolongation de la ligne bleue.
En tant qu’expert de Montréal, le fondateur de l’équipe Bardagi observe l’impact du REM sur le secteur de la ville de Mont-Royal. « Nous recevons de plus en plus d’appels de résidents qui se questionnent sur la valeur future de leur propriété située proche d’une gare du REM, explique-t-il. L’expertise de mon équipe et notre grande connaissance du quartier nous permettent aujourd’hui de les guider vers la bonne stratégie à envisager s’ils souhaitent vendre leur propriété. Il est évident que le REM jouera un rôle majeur dans l’évolution du marché immobilier de Montréal. »
D’autres quartiers sont aussi en pleine mutation. « Le secteur de Parc-Extension en est un bon exemple, continue M. Bardagi. Depuis la construction du campus de l’Université de Montréal près de nos bureaux à Outremont, de nombreuses familles veulent s’y établir. Il est certain que cette zone prend de la valeur de jour en jour. »
Montréal reste donc dans les cinq premiers marchés immobiliers à surveiller en 2020 avec Vancouver, Toronto, Ottawa et Halifax.
L’année devrait donc offrir des occasions favorables autant aux acheteurs qu’aux vendeurs. Par ailleurs, si vous êtes vendeur, sachez que vous avez jusqu’au mois d’avril pour contester votre nouvelle évaluation municipale. L’équipe d’experts de Bardagi peut vous aider dans votre démarche en vous fournissant les transactions comparables des ventes de votre secteur.
Contact : conseil@bardagi.com
www.bardagi.com
Le marché immobilier en quelques chiffres :
Dernier trimestre 2019 de la région métropolitaine de Montréal par rapport à la même période en 2018– Bond des ventes résidentielles totales de 13 %
– Bond des ventes résidentielles au mois de décembre de 26 %
– Prix médian des unifamiliales : +4 %
– Prix médian des copropriétés : +7 %
– Recul du nombre d’inscriptions en vigueur : -21 %
Source : Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ)
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