Broccolini: le pouvoir de réaliser

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Véritable histoire de détermination et de réussite, Broccolini fête ses 70 ans d’existence. Forte d’une croissance soutenue et bien réfléchie, l’entreprise excelle aujourd’hui dans les secteurs commerciaux, industriels et résidentiels en plus de s’investir dans le développement durable.
Parmi les dix membres de l’équipe de direction d’aujourd’hui, cinq sont de la famille Broccolini. Un équilibre qui ouvre la porte à des débats d’idées qui portent leurs fruits. D’entreprise familiale à chef de file en immobilier, Broccolini pèse encore aujourd’hui le pour et le contre de chacune de ses décisions selon les valeurs instaurées par son fondateur au milieu du XXe siècle. Retour sur un parcours marqué par les succès et l’engagement communautaire.
En 1949, Donato Broccollini fait l’acquisition d’un premier terrain à Montréal pour y construire une maison unifamiliale. Le produit de la vente de cette propriété lui permet de répéter l’expérience, une fois, puis deux, puis trois. Un parcours similaire à celui de bien des entrepreneurs. Donato Broccollini va poursuivre la croissance de son entreprise jusqu’à ce que ses quatre fils se joignent à lui au début des années 1980. Le premier contrat majeur, la construction d’un concessionnaire automobile d’une valeur d’un million de dollars, permet à l’entreprise de passer à un autre niveau. Puis, au milieu des années 1990, Broccolini fait l’acquisition de terrains dans l’ouest de l’île de Montréal pour y construire des immeubles à vocation industrielle et marque ainsi un nouveau tournant dans sa progression. L’immobilier s’avère très rentable et la famille y voit un fort potentiel de croissance.
Toutefois, c’est lorsque l’entreprise familiale crée son premier fonds d’investissement privé qu’il lui devient possible de soumissionner sur des projets de grande envergure. « Aujourd’hui, ce sont cinq fonds totalisant un demi-milliard de dollars en capitaux privés qui ont été levés pour financer la croissance de Broccolini », calcule Roger Plamondon, président du groupe immobilier. Le siège social de la Banque Nationale, la nouvelle Maison de Radio-Canada, des tours résidentielles à Montréal, à Ottawa et à Toronto… Les projets d’envergure se multiplient pour cette entreprise d’ici qui a le vent dans les voiles.
70 ans d’apprentissage Malgré une forte croissance, l’entreprise familiale n’a pas perdu son côté humain et les employés sont au cœur de sa réussite. « Que serions-nous sans nos employés ? Rien. C’est d’une importance capitale que la compagnie demeure humaine », insiste M. Plamondon. Et 70 ans à construire, c’est aussi 70 ans à apprendre, ajoute-t-il : « L’entreprise est prudente dans sa croissance, reconnaît la contribution de tous et est ouverte à la critique. »
Broccolini peut se vanter d’avoir acquis un positionnement de choix au centre-ville de la métropole. « Peu importe la voie d’entrée vers le cœur de la métropole, nos projets changent la carte postale de la ville », remarque M. Plamondon. En arrivant de l’est, on remarquera immédiatement l’imposant édifice tout de verre habillé qui constitue la nouvelle Maison de Radio-Canada, avec qui Broccolini a signé une entente d’au moins trente ans. De la Rive-Sud vers Montréal, c’est la tour du Victoria sur le Parc s’élevant vers le ciel qui accueillera ceux qui circulent dans l’avenue Robert-Bourassa, tandis qu’à l’ouest, l’Avenue salue les citadins qui empruntent le boulevard René-Lévesque. Finalement, grâce à l’acquisition d’un terrain à l’angle des rues Sherbrooke et Guy, la portion nord du centre portera elle aussi la signature Broccolini avec un projet qui n’a pas encore été dévoilé. « Nous croyons tout particulièrement au potentiel immobilier de Montréal. Nos racines sont ici, au cœur de la ville », assure Roger Plamondon.
L’entreprise se démarque également par sa fibre philanthropique. « La famille Broccolini reconnaît que la société en général a été très bonne pour elle et ses employés, soutient M. Plamondon. Elle considère qu’elle a donc une responsabilité sociale de redonner. » À ce titre, depuis ses débuts, Broccolini a pu verser plus de 1,5 million à différents organismes en plus d’être impliquée dans plusieurs conseils d’administration à travers la métropole.
Quelques projets
L’Avenue marqua l’entrée de Broccolini dans le marché des tours résidentielles. « Avec un projet de 50 étages à usage mixte, la société sortait de sa zone de confort », rappelle M. Plamondon. Il s’agissait d’un projet de taille considérant la densité du secteur, la proximité des autres chantiers, les activités du Centre Bell et des obstacles sous-terrain majeurs comme la gare Centrale et la station Lucien-Lallier. L’Avenue est de cette première génération de tours résidentielles dans le marché du centre-ville de Montréal, preuve concrète qu’il était enfin temps de donner une seconde vie à une série de stationnements et de terrains encore vacants.
Broccolini a repris les rênes d’un projet avorté pour en proposer un autre, prometteur : « Nous avons acheté le chantier, la bâtisse voisine et les droits aériens d’un autre bâtiment. On promet un look exceptionnel qui s’intégrera parfaitement au Quartier international », assure M. Plamondon. Au niveau du sol, l’architecture sera fidèle aux lignes du bâtiment original de la Dominion Guarentee Co. datant de 1912, dont la façade et le mur latéral de la rue Gauvin. Chaque pierre de ce dernier a été numérotée. À terme, l’ouvrage sera reconstruit. D’un design art déco au niveau de la voie publique, c’est donc en levant les yeux vers le ciel que l’on entrera au XXIe siècle. Cette tour comptera 35 étages et proposera 258 logements de 470 à 4000 pieds carrés.
Il s’agit du récent et plus important projet mixte de Broccolini à Montréal. Lancé à l’automne 2018, le gratte-ciel de 58 étages à deux pas du centre-ville et du Vieux-Montréal comprendra 400 logements allant de condos d’une chambre à coucher de 480 pieds carrés à des penthouses de 4000 pieds carrés. Victoria sur le parc comprend un podium à usage mixte, le 700 Saint-Jacques, qui comprend des espaces commerciaux et des bureaux. Le podium compte neuf étages et comprendra 330000 pieds carrés d’espace locatif. On vise à faire
du Victoria sur le parc et du 700 Saint-Jacques un écosystème où l’on peut vivre, travailler et se divertir dans un seul et même endroit.
Fondée en 1949 par Donato Broccolini, l’entreprise emploie aujourd’hui 350 personnes qui mettent à profit leurs expertises en ingénierie, architecture, immobilier, développement durable et construction. Le promoteur et entrepreneur dont les bureaux se situent à Montréal, à Ottawa et à Toronto fête cette année son 70e anniversaire. Bien qu’elle pilote des dossiers d’envergure au Canada, Broccolini a préservé le caractère familial des premières années. À ce titre, les valeurs et la mission de l’entreprise sont les mêmes depuis la toute première pelletée de terre, il y a sept décennies.
De la construction neuve aux projets clés en main, Broccolini répond aux besoins de joueurs nationaux et internationaux tels que Radio-Canada, Best Buy, Canadian Tire, Sobeys, Wal-Mart, Costco, Purolator, Travaux publics et Services gouvernementaux Canada et Amazon. Sur le plan résidentiel, Broccolini transforme graduellement le visage du centre-ville de Montréal avec des projets phares comme l’Avenue, Victoria sur le parc et la prestigieuse adresse du 628 Saint-Jacques.
Véritable histoire de détermination et de réussite, Broccolini fête ses 70 ans d’existence. Forte d’une croissance soutenue et bien réfléchie, l’entreprise excelle aujourd’hui dans les secteurs commerciaux, industriels et résidentiels en plus de s’investir dans le développement durable.
Parmi les dix membres de l’équipe de direction d’aujourd’hui, cinq sont de la famille Broccolini. Un équilibre qui ouvre la porte à des débats d’idées qui portent leurs fruits. D’entreprise familiale à chef de file en immobilier, Broccolini pèse encore aujourd’hui le pour et le contre de chacune de ses décisions selon les valeurs instaurées par son fondateur au milieu du XXe siècle. Retour sur un parcours marqué par les succès et l’engagement communautaire.
En 1949, Donato Broccollini fait l’acquisition d’un premier terrain à Montréal pour y construire une maison unifamiliale. Le produit de la vente de cette propriété lui permet de répéter l’expérience, une fois, puis deux, puis trois. Un parcours similaire à celui de bien des entrepreneurs. Donato Broccollini va poursuivre la croissance de son entreprise jusqu’à ce que ses quatre fils se joignent à lui au début des années 1980. Le premier contrat majeur, la construction d’un concessionnaire automobile d’une valeur d’un million de dollars, permet à l’entreprise de passer à un autre niveau. Puis, au milieu des années 1990, Broccolini fait l’acquisition de terrains dans l’ouest de l’île de Montréal pour y construire des immeubles à vocation industrielle et marque ainsi un nouveau tournant dans sa progression. L’immobilier s’avère très rentable et la famille y voit un fort potentiel de croissance.
Toutefois, c’est lorsque l’entreprise familiale crée son premier fonds d’investissement privé qu’il lui devient possible de soumissionner sur des projets de grande envergure. « Aujourd’hui, ce sont cinq fonds totalisant un demi-milliard de dollars en capitaux privés qui ont été levés pour financer la croissance de Broccolini », calcule Roger Plamondon, président du groupe immobilier. Le siège social de la Banque Nationale, la nouvelle Maison de Radio-Canada, des tours résidentielles à Montréal, à Ottawa et à Toronto… Les projets d’envergure se multiplient pour cette entreprise d’ici qui a le vent dans les voiles.
70 ans d’apprentissage Malgré une forte croissance, l’entreprise familiale n’a pas perdu son côté humain et les employés sont au cœur de sa réussite. « Que serions-nous sans nos employés ? Rien. C’est d’une importance capitale que la compagnie demeure humaine », insiste M. Plamondon. Et 70 ans à construire, c’est aussi 70 ans à apprendre, ajoute-t-il : « L’entreprise est prudente dans sa croissance, reconnaît la contribution de tous et est ouverte à la critique. »
Broccolini peut se vanter d’avoir acquis un positionnement de choix au centre-ville de la métropole. « Peu importe la voie d’entrée vers le cœur de la métropole, nos projets changent la carte postale de la ville », remarque M. Plamondon. En arrivant de l’est, on remarquera immédiatement l’imposant édifice tout de verre habillé qui constitue la nouvelle Maison de Radio-Canada, avec qui Broccolini a signé une entente d’au moins trente ans. De la Rive-Sud vers Montréal, c’est la tour du Victoria sur le Parc s’élevant vers le ciel qui accueillera ceux qui circulent dans l’avenue Robert-Bourassa, tandis qu’à l’ouest, l’Avenue salue les citadins qui empruntent le boulevard René-Lévesque. Finalement, grâce à l’acquisition d’un terrain à l’angle des rues Sherbrooke et Guy, la portion nord du centre portera elle aussi la signature Broccolini avec un projet qui n’a pas encore été dévoilé. « Nous croyons tout particulièrement au potentiel immobilier de Montréal. Nos racines sont ici, au cœur de la ville », assure Roger Plamondon.
L’entreprise se démarque également par sa fibre philanthropique. « La famille Broccolini reconnaît que la société en général a été très bonne pour elle et ses employés, soutient M. Plamondon. Elle considère qu’elle a donc une responsabilité sociale de redonner. » À ce titre, depuis ses débuts, Broccolini a pu verser plus de 1,5 million à différents organismes en plus d’être impliquée dans plusieurs conseils d’administration à travers la métropole.
Quelques projets
L'Avenue

628 Saint-Jacques

Victoria sur le parc

À propos de Broccolini

De la construction neuve aux projets clés en main, Broccolini répond aux besoins de joueurs nationaux et internationaux tels que Radio-Canada, Best Buy, Canadian Tire, Sobeys, Wal-Mart, Costco, Purolator, Travaux publics et Services gouvernementaux Canada et Amazon. Sur le plan résidentiel, Broccolini transforme graduellement le visage du centre-ville de Montréal avec des projets phares comme l’Avenue, Victoria sur le parc et la prestigieuse adresse du 628 Saint-Jacques.
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