Groupe Le Vivier: Quand le Québec et la Belgique vibrent ensemble

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« Créées par un compositeur québécois et jouées par un ensemble belge, ou vice versa, les neuf créations qui seront déployées dans le cadre de six concerts sortiront toutes de l’ordinaire », souligne Stéphanie Hamel, responsable des communications pour Le Vivier.
Ce dernier s’est associé au festival belge Ars Musica et au Forum des compositeurs de Wallonie-Bruxelles pour offrir une première fois la Série des partenaires internationaux, qui se tiendra du 7 au 12 mai.
Ce maillage transculturel donnera lieu à des œuvres des plus hétéroclites et fascinantes. Ainsi, dans le premier concert de la série, le compositeur canadien James O’Callaghan donnera le ton avec son œuvre Of Definitions of « Ground », jouée par l’ensemble belge Hopper. « La création repose sur le son émis par les ondes électriques, explique-t-elle. Comme les hertz diffèrent entre le Canada et l’Europe, une version sera créée pour chacun de ces pays où l’œuvre sera présentée. »
L’ensemble belge Hopper. Crédit : Photo J. Lago-Lago
Quatre créations où la voix est à l’honneur pourront être entendues le 8 mai, du premier chœur de growlers — des chanteurs métal —, dirigé et créé par le compositeur québécois Pierre-Luc Senécal, à une œuvre de Stefan Hejdrowski composée principalement avec les accords sol et la et chantée a capella par Marie-Annick Béliveau. « Cette même chanteuse imitera des cris de goéland pour l’œuvre d’Alice Hebborn et interprétera des chants de gorge, le tout accompagné de percussions et de hautbois. »
Le concert Totem électrique mettra en avant les instruments entièrement inventés par Jean-François Laporte, aussi compositeur et interprète, qui jouera de sa table de Babel, de son orgue sirène et de son Tu-Yo. L’œuvre de Jean-Baptiste Zellal, créée à partir de certains de ces instruments, y sera également présentée.
Pour le dernier concert de la semaine belge, le 12 mai, les spectateurs pourront enfin découvrir l’orgue autrement. La réverbération de six secondes propre à l’église du Gesù permettra à l’orgue Casavant d’émettre des sonorités différentes, des plus classiques aux plus robotiques.
La programmation complète peut être consultée sur le site Web du Groupe Le Vivier.
« Créées par un compositeur québécois et jouées par un ensemble belge, ou vice versa, les neuf créations qui seront déployées dans le cadre de six concerts sortiront toutes de l’ordinaire », souligne Stéphanie Hamel, responsable des communications pour Le Vivier.
Ce dernier s’est associé au festival belge Ars Musica et au Forum des compositeurs de Wallonie-Bruxelles pour offrir une première fois la Série des partenaires internationaux, qui se tiendra du 7 au 12 mai.
Ce maillage transculturel donnera lieu à des œuvres des plus hétéroclites et fascinantes. Ainsi, dans le premier concert de la série, le compositeur canadien James O’Callaghan donnera le ton avec son œuvre Of Definitions of « Ground », jouée par l’ensemble belge Hopper. « La création repose sur le son émis par les ondes électriques, explique-t-elle. Comme les hertz diffèrent entre le Canada et l’Europe, une version sera créée pour chacun de ces pays où l’œuvre sera présentée. »

Quatre créations où la voix est à l’honneur pourront être entendues le 8 mai, du premier chœur de growlers — des chanteurs métal —, dirigé et créé par le compositeur québécois Pierre-Luc Senécal, à une œuvre de Stefan Hejdrowski composée principalement avec les accords sol et la et chantée a capella par Marie-Annick Béliveau. « Cette même chanteuse imitera des cris de goéland pour l’œuvre d’Alice Hebborn et interprétera des chants de gorge, le tout accompagné de percussions et de hautbois. »
Le concert Totem électrique mettra en avant les instruments entièrement inventés par Jean-François Laporte, aussi compositeur et interprète, qui jouera de sa table de Babel, de son orgue sirène et de son Tu-Yo. L’œuvre de Jean-Baptiste Zellal, créée à partir de certains de ces instruments, y sera également présentée.
Pour le dernier concert de la semaine belge, le 12 mai, les spectateurs pourront enfin découvrir l’orgue autrement. La réverbération de six secondes propre à l’église du Gesù permettra à l’orgue Casavant d’émettre des sonorités différentes, des plus classiques aux plus robotiques.
La programmation complète peut être consultée sur le site Web du Groupe Le Vivier.

Ce contenu a été produit par l’équipe des publications spéciales du Devoir en collaboration avec l’annonceur. L’équipe éditoriale du Devoir n’a joué aucun rôle dans la production de ce contenu.