Les technologies émergentes, l’IA et l’innovation collaborative : composantes du succès pour le secteur manufacturier

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Pour que les entreprises soient compétitives, il faut travailler sur l’aspect de leur productivité, et les technologies émergentes viennent en appui à cela », lance Luis Antonio de Santa-Eulalia, professeur agrégé à l’École de gestion de l’UdeS, aussi membre fondateur du SC4 (Réseau de collaboration en recherche en gestion de chaînes logistiques 4.0) et cofondateur du Réseau Innovation 4.0, ainsi que codirecteur du groupe de recherche IntelliLab. Ce dernier cherche à contribuer à la performance des entreprises et des organisations de la province à travers l’innovation collaborative dans le cadre de la quatrième révolution industrielle, soit l’Industrie 4.0.
« On veut aider les PME manufacturières à être plus performantes et innovantes », renchérit Elaine Mosconi, professeure à l’École de gestion de l’UdeS, codirectrice d’IntelliLab et cofondatrice du Centre d’excellence en gestion de l’entreprise manufacturière innovante (CEGEMI). Selon elle, l’Industrie 4.0 et l’IA permettent aussi de créer de nouveaux modèles d’affaires.
« Est-ce que les technologies émergentes et l’IA peuvent nous aider à être plus efficaces et plus productifs ? La réponse est oui », assure Luis Antonio de Santa-Eulalia, prenant l’exemple d’une entreprise qui aurait besoin d’embaucher des soudeurs. « Si j’ai de la difficulté à trouver de la main-d’œuvre, la technologie pourrait me permettre d’automatiser le soudage ou encore d’accélérer le travail de mes soudeurs avec des robots collaboratifs », avance-t-il. L’intelligence artificielle permet notamment aux employés d’effectuer des tâches moins répétitives et à valeur ajoutée, mais aussi d’améliorer les processus d’affaires des entreprises, renchérit Elaine Mosconi.
Pour Luis Antonio de Santa-Eulalia, l’apport de l’intelligence artificielle dans l’Industrie 4.0 est majeur. « Beaucoup de technologies émergent présentement, et l’intelligence artificielle prend beaucoup de place parce qu’elle est intégrée à d’autres technologies », précise-t-il. Les algorithmes d’intelligence artificielle apportent notamment aux robots une flexibilité qui n’existait pas avant, leur permettant d’effectuer une gamme de tâches plus large, mais aussi de s’adapter et de s’améliorer en permanence. De plus, grâce aux données collectées dans les usines, les applications d’intelligence artificielle sont capables de mieux comprendre certains comportements et de prédire ce qui se passera. « On est plus sophistiqué avec l’intelligence artificielle », croit le chercheur.
Travail collaboratif « On croit beaucoup au potentiel de la collaboration pour faire face à ce phénomène complexe, qui est l’Industrie 4.0», ajoute le professeur. Son équipe est entre autres associée à Productique Québec, le Centre collégial de transfert de technologie (CCTT) du Cégep de Sherbrooke, pour la création d’un Centre d’excellence en gestion de l’entreprise manufacturière innovante. L’objectif de celui-ci est de développer des pratiques managériales innovantes, adaptées aux modèles d’affaires 4.0. « On vise à créer une plateforme où les gens qui sont intéressés par l’innovation collaborative pourront se rencontrer et travailler ensemble », explique le professeur. Dans ce lieu, chercheurs universitaires, collégiaux et industriels pourront échanger et innover ensemble.
Au sein de ce centre, un « living lab » permet de mener des recherches, de créer des prototypes technologiques et de gestion, ainsi que de les tester. « L’avantage est qu’on peut mettre la technologie dans un environnement contrôlé pour la tester sans arrêter la production ou mettre en risque le système manufacturier, incluant les employés », commente Elaine Mosconi.
La professeure explique que l’une des missions d’IntelliLab est de rendre les étudiants utiles à la société de demain, mais capables de résoudre des problèmes concrets de l’entreprise d’aujourd’hui. Le secteur manufacturier a besoin de plus en plus d’une main-d’œuvre hautement qualifiée et apte à intégrer de nouvelles technologies qui ne cessent d’évoluer. Ainsi, grâce à plusieurs partenariats, les projets concrets sont nombreux, tels que le développement d’une approche sur l’intégration des robots collaboratifs, l’utilisation des agents conversationnels ou encore un projet de plateformes collaboratives de type Facebook au sein de l’entreprise manufacturière. « Tout cela cherche à propulser la collaboration entre les gens, à faciliter le partage des connaissances, à les aider à être plus performants dans ce qu’ils font », explique Mme Mosconi.
En somme, pour les deux professeurs, tous ces projets servent à soutenir le secteur manufacturier pour qu’il soit le plus performant possible, créant ainsi des usines intelligentes, des entreprises innovantes, et ultimement, une société intelligente propulsée par l’IA et plusieurs autres technologies.
Pour que les entreprises soient compétitives, il faut travailler sur l’aspect de leur productivité, et les technologies émergentes viennent en appui à cela », lance Luis Antonio de Santa-Eulalia, professeur agrégé à l’École de gestion de l’UdeS, aussi membre fondateur du SC4 (Réseau de collaboration en recherche en gestion de chaînes logistiques 4.0) et cofondateur du Réseau Innovation 4.0, ainsi que codirecteur du groupe de recherche IntelliLab. Ce dernier cherche à contribuer à la performance des entreprises et des organisations de la province à travers l’innovation collaborative dans le cadre de la quatrième révolution industrielle, soit l’Industrie 4.0.
« On veut aider les PME manufacturières à être plus performantes et innovantes », renchérit Elaine Mosconi, professeure à l’École de gestion de l’UdeS, codirectrice d’IntelliLab et cofondatrice du Centre d’excellence en gestion de l’entreprise manufacturière innovante (CEGEMI). Selon elle, l’Industrie 4.0 et l’IA permettent aussi de créer de nouveaux modèles d’affaires.
« Est-ce que les technologies émergentes et l’IA peuvent nous aider à être plus efficaces et plus productifs ? La réponse est oui », assure Luis Antonio de Santa-Eulalia, prenant l’exemple d’une entreprise qui aurait besoin d’embaucher des soudeurs. « Si j’ai de la difficulté à trouver de la main-d’œuvre, la technologie pourrait me permettre d’automatiser le soudage ou encore d’accélérer le travail de mes soudeurs avec des robots collaboratifs », avance-t-il. L’intelligence artificielle permet notamment aux employés d’effectuer des tâches moins répétitives et à valeur ajoutée, mais aussi d’améliorer les processus d’affaires des entreprises, renchérit Elaine Mosconi.
On veut aider les PME manufacturières à être plus performantes et innovantes.
Pour Luis Antonio de Santa-Eulalia, l’apport de l’intelligence artificielle dans l’Industrie 4.0 est majeur. « Beaucoup de technologies émergent présentement, et l’intelligence artificielle prend beaucoup de place parce qu’elle est intégrée à d’autres technologies », précise-t-il. Les algorithmes d’intelligence artificielle apportent notamment aux robots une flexibilité qui n’existait pas avant, leur permettant d’effectuer une gamme de tâches plus large, mais aussi de s’adapter et de s’améliorer en permanence. De plus, grâce aux données collectées dans les usines, les applications d’intelligence artificielle sont capables de mieux comprendre certains comportements et de prédire ce qui se passera. « On est plus sophistiqué avec l’intelligence artificielle », croit le chercheur.
Travail collaboratif « On croit beaucoup au potentiel de la collaboration pour faire face à ce phénomène complexe, qui est l’Industrie 4.0», ajoute le professeur. Son équipe est entre autres associée à Productique Québec, le Centre collégial de transfert de technologie (CCTT) du Cégep de Sherbrooke, pour la création d’un Centre d’excellence en gestion de l’entreprise manufacturière innovante. L’objectif de celui-ci est de développer des pratiques managériales innovantes, adaptées aux modèles d’affaires 4.0. « On vise à créer une plateforme où les gens qui sont intéressés par l’innovation collaborative pourront se rencontrer et travailler ensemble », explique le professeur. Dans ce lieu, chercheurs universitaires, collégiaux et industriels pourront échanger et innover ensemble.
Au sein de ce centre, un « living lab » permet de mener des recherches, de créer des prototypes technologiques et de gestion, ainsi que de les tester. « L’avantage est qu’on peut mettre la technologie dans un environnement contrôlé pour la tester sans arrêter la production ou mettre en risque le système manufacturier, incluant les employés », commente Elaine Mosconi.
La professeure explique que l’une des missions d’IntelliLab est de rendre les étudiants utiles à la société de demain, mais capables de résoudre des problèmes concrets de l’entreprise d’aujourd’hui. Le secteur manufacturier a besoin de plus en plus d’une main-d’œuvre hautement qualifiée et apte à intégrer de nouvelles technologies qui ne cessent d’évoluer. Ainsi, grâce à plusieurs partenariats, les projets concrets sont nombreux, tels que le développement d’une approche sur l’intégration des robots collaboratifs, l’utilisation des agents conversationnels ou encore un projet de plateformes collaboratives de type Facebook au sein de l’entreprise manufacturière. « Tout cela cherche à propulser la collaboration entre les gens, à faciliter le partage des connaissances, à les aider à être plus performants dans ce qu’ils font », explique Mme Mosconi.
En somme, pour les deux professeurs, tous ces projets servent à soutenir le secteur manufacturier pour qu’il soit le plus performant possible, créant ainsi des usines intelligentes, des entreprises innovantes, et ultimement, une société intelligente propulsée par l’IA et plusieurs autres technologies.

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