
La FAE déplore un manque flagrant de coordination en francisation
Il faut lutter sur plus d’un front pour améliorer les services et le soutien à l’apprentissage du français.
Plus qu’une simple question de langue
Ils sont nombreux sur le terrain à enseigner la langue française dans les écoles publiques primaires et secondaires, les centres d’éducation des adultes et de formation professionnelle, à veiller à ce que chaque élève, les jeunes comme les adultes, puisse obtenir des bases solides afin de pouvoir en faire usage dans la vie quotidienne. Malgré le travail titanesque des écoles, des centres et du corps professoral, la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), qui regroupe plusieurs syndicats de l’enseignement dans différentes régions duQuébec, relève de nombreux obstacles dans l’atteinte desobjectifs du Québec en matière de francisation. Réalisé en collaboration avec la FAE, ce cahier spécial met en lumière les nombreux défis qui parsèment le chemin des enseignants comme des élèves, tout en soulignant l’apport de ceux etcelles qui font des pieds et des mains pour répondre aux différents besoins et profils des étudiants.
Il faut lutter sur plus d’un front pour améliorer les services et le soutien à l’apprentissage du français.
La FAE a produit huit balados audio animés par la chroniqueuse et scénariste Catherine Ethier.
Avant d’entamer des cours de francisation en 2020, Nassiba Elkhalfaoui n’avait jamais mis les pieds à l’école.
La chroniqueuse prête sa voix à la FAE dans un balado qui balance entre humour et indignation.
Il s'agit d'une mesure transitoire, un investissement social, et un pari pour l’avenir des jeunes arrivants.