
Les offices de tourisme misent sur la séduction pour relancer le tourisme d'affaires
Les offices touristiques se démènent pour soutenir la relance d’un secteur malmené depuis deux ans.
Planifier la relance avec prudence
Pauses et reprises… Naviguer entre les fermetures et les réouvertures a affecté le cycle naturel du tourisme d’affaires au Québec. Bien que l’industrie ait fait preuve de résilience et d’inventivité devant l’imprévisibilité, les mesures sanitaires ont tout de même mené à l’annulation et au report de plusieurs congrès, réunions et autres événements d’affaires, qui se préparent des mois, voire des années à l’avance. Ce cahier fait état de la situation actuelle, de nouvelles mesures d’assouplissement devant entrer en vigueur et des perspectives du secteur, l’un des plus importants de l’économie québécoise.
Les offices touristiques se démènent pour soutenir la relance d’un secteur malmené depuis deux ans.
Tourisme d’affaires Québec a planché sur les perspectives et les tendances dans l’industrie des événements d’affaires.
«Pour nous, c’est une bouffée d’oxygène», réagit le directeur général de Tourisme d’affaires Québec.
Les deux villes se préparent à accueillir plusieurs événements et congrès internationaux cette année.
Le ministère du Tourisme a lancé en décembre le Fonds de développement en tourisme d’affaires.
Dans le Grand Montréal, 30% des chambres d’hôtel ont été retirées de l’inventaire faute de personnel.
«Les déplacements d’une journée pour assister à une réunion de deux heures sont appelés à disparaître.»
Des Laurentides à la Gaspésie, il existe une foule de possibilités pour se dépayser tout en travaillant.
Le tourisme d’affaires avait déjà commencé à changer avant la pandémie, croit l'hôtelière Linda Gallant.
Le calcul de l’impact environnemental d’un événement virtuel est plus complexe que pour un événement présentiel.