
Les chargés de cours occupent une profession essentielle, mais mal reconnue
Leur contribution à l’enseignement universitaire n'est pas appréciée à sa juste valeur, déplore la FNEEQ.
Encore tant de batailles à mener
La Loi sur l’équité salariale a beau célébrer ses 25 ans, elle n’a pas encore eu tous les effets escomptés en matière d’égalité entre les hommes et les femmes dans les milieux de travail. Une bataille parmi tant d’autres pour les différentes organisations syndicales, qui, avec cet exemple, arguent du fait qu’elles ont encore du pain sur la planche et que, malgré les critiques qu’elles essuient parfois, leur pertinence n’est pas à démontrer. L’équité salariale donc, mais aussi le salaire minimum, les heures supplémentaires obligatoires ou encore l’adaptation aux changements climatiques… Ce dossier réalisé en collaboration avec les syndicats leur donne la parole afin que nous puissions mieux saisir les défis et les batailles qui se préparent dans le public comme dans le privé.
Leur contribution à l’enseignement universitaire n'est pas appréciée à sa juste valeur, déplore la FNEEQ.
La Fédération veut favoriser la collaboration, tout en reprochant au gouvernement son manque d’écoute.
Selon l’APPM, un syndicat doit prendre position et faire de la sensibilisation auprès de ses membres et de ses délégués.
Selon la CSN, la hausse du salaire minimum doit demeurer l’une des grandes priorités du monde syndical.
Vingt-cinq ans après l’adoption de la loi, force est de constater que le bout du chemin est encore loin.
La centrale syndicale était présente à Glasgow lors de la COP26 afin de défendre les intérêts des travailleurs.
Un quart de siècle après son adoption, les écarts de salaire entre hommes et femmes persistent, déplore la CSQ.
Heures supplémentaires obligatoires, hôpitaux surchargés… les difficultés sont pesantes pour le personnel de santé.