![«L’important, c’est de voir comment on peut s’assurer [que l'université] est le plus près de la réalité de notre société», précise le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion.](https://media1.ledevoir.com/images_galerie/nwl_1046730_853065/image.jpg)
L’université québécoise du futur existe déjà
Elle deviendra cependant plus inclusive, plus flexible et s’ouvrira davantage sur la société.
Un vent de nouveautés
Qu’il s’agisse du baccalauréat en psychologie de l’UQAM, des MBA à HEC Montréal ou encore de la Faculté des beaux-arts de Concordia, pour ne citer que quelques-uns des sujets traités dans ce dossier, la pandémie, mais aussi les défis auxquels les futurs diplômés auront à faire face et la multidisciplinarité à laquelle ceux-ci feront appel, fait en sorte que plusieurs programmes ont été revus en profondeur durant les derniers mois. De nouvelles versions souvent bâties autour des spécialités et des talents des professeurs qui composent la matière grise de ces établissements, tant à Montréal qu’à Québec et ailleurs dans la province, afin de faire du Québec un centre universitaire unique en son genre.
Elle deviendra cependant plus inclusive, plus flexible et s’ouvrira davantage sur la société.
Le professeur Félix Gervais ne ménage aucun effort pour former la future génération de spécialistes.
Une chercheuse de l’INRS tisse des liens entre les perturbateurs endocriniens et la fertilité masculine.
HEC Montréal a pris acte des effets de la pandémie et en a tiré le meilleur pour ses étudiants.
Les contrecoups de la pandémie se font sentir fortement au sein des programmes artistiques.
Elle a procédé à une refonte du baccalauréat en psychologie afin d’offrir une formation plus adaptée aux enjeux actuels.
Ils exhortent le gouvernement à prendre fait et cause pour le programme, dont ils vantent les nombreux avantages.