
Le sort d’Alexandre Bissonnette entre les mains de la Cour suprême
Le tribunal s’est penché jeudi sur la disposition qui permet les peines de prison à vie sans possibilité de libération.
Journaliste depuis 15 ans, Stéphanie Marin reprend le flambeau du journalisme judiciaire au Devoir en plus d'y assurer la couverture des affaires policières. Au Devoir depuis octobre 2021, elle a au préalable travaillé comme journaliste pour Radio-Canada dans diverses villes du Québec et de l'Ontario ainsi qu'à La Presse Canadienne, où elle a déniché des nouvelles lors des douze dernières années, dont près de cinq à Ottawa comme correspondante parlementaire. Munie de sa formation d'avocate, ses nouvelles fonctions au Devoir lui permettent d'allier le journalisme avec son intérêt pour les problèmes de société qui se cachent derrière les interventions policières et les procédures devant les tribunaux.
Le tribunal s’est penché jeudi sur la disposition qui permet les peines de prison à vie sans possibilité de libération.
Il est toutefois renvoyé à l’Institut Pinel pour qu’un psychiatre détermine s’il était responsable de ses actes.
Des mesures adoptées sous Harper avait entre autres permis d’imposer 40 ans de prison ferme à Alexandre Bissonnette.
La Cour d’appel estime qu’elle aurait dû avoir le droit de plaider la thèse de la riposte du crime organisé.
Au total, 12 amendes ont été distribuées par Transports Canada, qui avertit que d’autres sont à venir.
Sur les 200 000 dollars négociés, les utilisateurs d’Uber Eats ne toucheront pas un sou.
Les deux juges russe et chinois ont voté contre les principales mesures provisoires ordonnées.
Des experts expliquent les pouvoirs, mais aussi les limites de ces cours instaurées dans l’espoir d’éviter les guerres.
L’homme de 21 ans fait face à quatre chefs d’accusation.
L'homme de 21 ans a été arrêté sur les lieux de l’agression dans le secteur de Pointe-aux-Trembles.