
Les complotistes migrent vers des plateformes à l’abri de la censure
Progressivement évincés de YouTube, Facebook et Twitter, ils s’exilent vers des réseaux plus marginaux.
Stéphane Baillargeon a fait des études en philo (un peu) et en sciences politiques (un peu plus). Il a fait ses premières armes en journalisme à TVA, puis à L’actualité, avant de se joindre au Devoir. Reporter à la section culturelle, il a successivement couvert les arts visuels, la littérature, les politiques culturelles, le théâtre et la télévision. Il a tenu des chroniques sur les questions religieuses (1994-2002) et sur les médias (2009-2016). Il a également collaboré à plusieurs émissions socioculturelles de la radio de Radio-Canada et à des projets de série documentaire pour la télé. Il est maintenant rattaché à la section des actualités, comme généraliste.
Progressivement évincés de YouTube, Facebook et Twitter, ils s’exilent vers des réseaux plus marginaux.
Comment les médias d’informations doivent-ils réagir face à la poussée de croissance des mensonges?
Un épisode censuré redeviendra disponible avec un avertissement.
Les sociétés du Moyen Âge réagissaient-elles si différemment que nous aux épidémies?
La pandémie s’arrime à une sédentarisation récente et progressive de l’espèce humaine.
Trois Québécois installés à Atlanta se confient sur l’élection américaine.
Des reporters boulimiques de culture partagent leur coup de coeur de la semaine.
De la nature indirecte du vote aux différences de dépouillement entre les États, Le Devoir démêle le tout.
Il n’y a que les fous et les fanatiques qui ne changent ni d’avis ni d’ailleurs de sujet.
L’emploi par un chroniqueur d’une insulte raciste lors d'une citation respectait les normes du diffuseur.