
Les gestes d’affection sont-ils universels?
Des scientifiques tentent de démystifier l’origine de ces gestes qui procurent la félicité tant recherchée.
Pauline Gravel couvre l’actualité scientifique au Devoir depuis 2001. Détentrice d’une maîtrise en sciences neurologiques de l’Université de Montréal, elle s’intéresse autant à la physique, aux mathématiques et à l’astronomie qu’à la biologie, à la psychologie et à la santé. Avant d’entrer au Devoir, elle a fait de la vulgarisation scientifique pour des émissions de télévision, des musées et des revues, ainsi que du journalisme scientifique pour diverses revues françaises et québécoises.
Des scientifiques tentent de démystifier l’origine de ces gestes qui procurent la félicité tant recherchée.
Ce phénomène toxique est loin de s’essouffler, constatent les experts qui cherchent à le contrecarrer.
L’obésité amincit le cortex cérébral, une neurodégénérescence qui s’apparente à celle observée dans les cas d’alzheimer.
Contrairement à la recherche fondamentale, cette technologie ne permet pas de comprendre les mécanismes en jeu.
L’astromobile a recueilli jusqu’à maintenant une quinzaine d’échantillons de roches et de sols martiens.
Cette méthode pourrait favoriser une prise en charge plus rapide.
Des essais cliniques n’ont pas montré de différence significative entre l’effet du placebo et celui du cannabinoïde.
Que symbolise le sapin de Noël qu’on érige dans nos maisons et quelle est l’histoire de cette tradition?
Les sapins cultivés mettent de huit à dix ans pour atteindre la taille de 2 à 2,4 mètres.
Le Centre d’étude sur la forêt de l’UQAM coordonne un chantier de restauration d’écosystèmes forestiers à Pike River.