
Un Festival de Cannes entre pandémie et guerre
L’événement retrouve un air de normalité, mais avec une édition politique malgré tout.
Odile Tremblay est devenue journaliste culturelle au Devoir en 1990 après une formation en ethnologie à l’Université Laval et après s’être investie auprès des autochtones au Centre Attikamek-Montagnais. Elle a été responsable du cinéma de 1990 à 2017 et directrice littéraire de 1992 à 1993. Attachée à la couverture de grands festivals de films, elle signe une chronique culturelle depuis 1995, devenue bihebdomadaire en 2015. Elle a remporté le prix Jules-Fournier en 1994 et le prix Judith-Jasmin (Opinion) en 2005.
L’événement retrouve un air de normalité, mais avec une édition politique malgré tout.
Chronique Leur crise existentielle entre le format cellulaire et l’Imax ressemble à celle d’Alice au pays des merveilles.
Une maison royale pour un peintre en crise.
Chronique La cerisaie de Michel Tremblay.
Chronique Les cérémonies des adieux et les soirées hommage sont des rendez-vous culturels autant que mémoriels.
Avec «Petite maman», la cinéaste explore le thème de la sororité et de la solidarité en l’appliquant à l’enfance.
Chronique Il faut décoder le décrochage des garçons.
Chronique Écoutez le chant d’un artiste en mouvement capable de ramener chaque créateur à l’essentiel.
La pièce «Adieu monsieur Haffmann» investit le grand écran dans une adaptation libre de Fred Cavayé.
«La fine fleur», ou un art horticole aussi riche que méconnu.