
Québec songe à un passeport vaccinal pour fréquenter les lieux publics
Écartée par Ottawa en janvier, la question déchire présentement l’Union européenne.
Mylène Crête est correspondante parlementaire à Québec pour Le Devoir depuis mars 2019. Elle occupait auparavant des fonctions similaires pour La Presse canadienne à Ottawa. Elle couvre la politique québécoise en général et s’intéresse particulièrement à l’impact des phénomènes internationaux sur les politiques publiques, aux enjeux sociaux comme la laïcité de l’État et aux questions économiques. Elle est diplômée en journalisme de l’UQAM et détient une maîtrise en relations internationales de l’Université Carleton. Elle a commencé sa carrière à Radio-Canada au Manitoba en 2001 et a travaillé dans plusieurs grandes villes canadiennes.
Écartée par Ottawa en janvier, la question déchire présentement l’Union européenne.
Le gouvernement Legault a longtemps hésité à les utiliser en raison de doutes sur la fiabilité.
Des experts préviennent du danger d’un trop grand relâchement des mesures sanitaires.
Le ministère de la Santé et des Services sociaux a rendu publics 14 avis donnés par le Dr Horacio Arruda.
La première injection des vaccins de Pfizer-BioNTech et de Moderna est efficace à 80%.
Les livraisons des vaccins de Pfizer-BioNTech et de Moderna devraient s’accélérer.
Mais la vaccination des 60 ans et plus pourrait limiter les dégâts, selon l’INSPQ.
La stratégie de reporter la deuxième dose pour maximiser le nombre de gens vaccinés doit être maintenue, estime-t-on.
Cela permettrait d’isoler rapidement les employés infectés pour juguler la transmission en milieu de travail.
La création d’un Pfizer québécois serait toutefois invraisemblable, selon le premier ministre.