
La Perse antique inspire des oeuvres lumineuses à Sayeh Sarfaraz
Pour l’artiste d’origine iranienne, la répression du régime islamique demeure un souvenir douloureux.
Marie-Ève Charron est critique d’art au quotidien Le Devoir depuis 2007 comme pigiste après un premier passage au quotidien de 2001 à 2003 et à La Presse en 1999. Depuis ses études en histoire de l’art (UQAM, 1999; Université de Montréal, 2003), son intérêt croissant pour l’art contemporain et actuel s’incarne dans les revues Parachute et esse arts + opinions, ainsi que dans diverses publications spécialisées. Commissaire indépendante d’exposition, elle enseigne également l’histoire de l’art au cégep de Saint-Hyacinthe et comme chargée de cours à l’UQAM.
Pour l’artiste d’origine iranienne, la répression du régime islamique demeure un souvenir douloureux.
L’exposition «Piece Work» aligne plusieurs dizaines d’oeuvres sur papier puisées dans l’atelier de l’artiste.
Critique Des expositions donnent le goût d’aller sur la Rive-Sud.
L’artiste présente un nouveau corpus d’oeuvres à Projet Casa autour d’un titre évocateur: «À charge de désir».
Critique La Fonderie Darling réunit artistes et penseurs autour du populaire théoricien des médias.
Critique La Fondation Guido Molinari consacre un solo d’importance à cet artiste québécois de culture afro-américaine.
Critique À la Galerie B-312, les deux artistes partagent une démarche qui stimule des points de rapprochement.
2022 verra une Manif d’art (yé !), et plusieurs expos emballantes. Suivez le guide !
Pour avoir usé du mot «bienveillance» avant que la pandémie le mette au goût du jour, elle fait figure de précurseure.
«On va faire le plus possible avec nos moyens», promet le directeur général John Zeppetelli.