
Des directions d’école font pression sur le gouvernement Legault
L’impatience gagne les directeurs et directrices, qui ont soif de reconnaissance après deux ans de pandémie.
Marco Fortier est journaliste au Devoir depuis 2013. Il a couvert l’actualité politique au cours des 20 dernières années, notamment au Journal de Montréal et à Ruefrontenac.com, mais il est un touche-à-tout dans l’âme: il a suivi une expédition canadienne au mont Everest (dont il a tiré le livre Sur le toit du monde en 2000), couvert le référendum de 2014 sur l’indépendance de l’Écosse et la campagne présidentielle de 2016 aux États-Unis. Son reportage Voyage au bout de la vie lui a valu le prix Judith-Jasmin (Entrevue ou portrait) en 2016. Il se déplace à vélo été comme hiver et s’intéresse aux questions d’aménagement urbain.
L’impatience gagne les directeurs et directrices, qui ont soif de reconnaissance après deux ans de pandémie.
Appel à la bonification des bourses universitaires aux cycles supérieurs, gelées depuis près de 20 ans.
Alisha Wissanji a fondé un programme qui emmène des centaines d’enfants au cégep les samedis matin.
Critiquée de toutes parts, la ministre Danielle McCann se dit prête à amender le projet de loi 32.
Le cabinet du ministre Roberge confirme que les conseils d’établissement peuvent se réunir en présence ou à distance.
Un mouvement propose de financer à 100% les écoles privées et de les obliger à accueillir les élèves de leur quartier.
Deux enseignantes du primaire mettent tout en oeuvre pour garder leurs élèves motivés.
Québec autorise l’enseignement à distance à 3500 élèves qui «n’entrent pas dans le moule» de l’école en présence.
La « catho-laïcité » du calendrier scolaire donne des maux de tête aux gestionnaires.
La mixité scolaire favorise la réussite de tous les élèves, réitèrent des experts en éducation.