
Le côté sombre de l’«industrie» des étudiants étrangers
Pour mettre la main sur la résidence permanente, des étudiants étrangers paient à fort prix leur formation au Canada.
Marco Fortier est journaliste au Devoir depuis 2013. Il a couvert l’actualité politique au cours des 20 dernières années, notamment au Journal de Montréal et à Ruefrontenac.com, mais il est un touche-à-tout dans l’âme: il a suivi une expédition canadienne au mont Everest (dont il a tiré le livre Sur le toit du monde en 2000), couvert le référendum de 2014 sur l’indépendance de l’Écosse et la campagne présidentielle de 2016 aux États-Unis. Son reportage Voyage au bout de la vie lui a valu le prix Judith-Jasmin (Entrevue ou portrait) en 2016. Il se déplace à vélo été comme hiver et s’intéresse aux questions d’aménagement urbain.
Pour mettre la main sur la résidence permanente, des étudiants étrangers paient à fort prix leur formation au Canada.
Ces établissements sont les seuls du réseau à devoir assurer l’enseignement en personne durant la semaine du 4 janvier.
Le fédéral a notamment payé pour l’agrandissement du cégep Champlain St. Lawrence, dans la capitale nationale.
Une trentaine d'établissements font appel au recrutement intensif à l’international.
Québec met en place d’autres règles pour prévenir l’infection des milieux de soins de santé par les étudiants.
La ministre McCann est prête à révoquer des permis ou à renforcer la Loi sur l’enseignement privé.
Des étudiants indiens se retrouvent au cœur d’une bataille juridique sur leurs droits de scolarité malgré eux.
Des profs au bout du rouleau s’inquiètent pour leurs élèves en difficulté; le ministre Roberge se fait rassurant.
Les rassemblements d’un maximum de 10 personnes seront permis entre le 24 et le 27 décembre.
Le recteur Pierre Cossette est préoccupé par l’isolement et la détresse de ses étudiants.