
«Roar»: huit femmes
C’est du côté de l’humour noir, du fantastique et de l’horreur que flirte cette série.
Repêchée par «Le Devoir» comme journaliste pigiste à la culture en 2014, Manon Dumais y dirige les contenus Lire depuis 2018. Scénariste de formation et détentrice d’une maîtrise en littérature, elle a dirigé la section cinéma de l’hebdomadaire «Voir» durant 10 ans, en plus d’en être la chroniqueuse cinéma dans sa version télévisée. En 2014, elle a collaboré à deux ouvrages parus chez Somme toute: «Bleu nuit. Histoire d’une cinéphilie nocturne» et «40 ans de vues rêvées par des femmes. L’imaginaire des cinéastes québécoises depuis 1972». Critique de cinéma à Médiafilm de 2001 à 2019 et chroniqueuse DVD au magazine «Cineplex» de 2014 à 2018, elle participe en plus à différentes émissions culturelles à la radio et à la télévision de Radio-Canada.
C’est du côté de l’humour noir, du fantastique et de l’horreur que flirte cette série.
«Là où je me terre» succède à «Ténèbre» de Paul Kawczak.
Roger Paré s’est éteint à 92 ans le 31 mars.
Quinze autrices invitent les lecteurs à jouer les oracles et renouer avec la tradition orale.
La représentation de la non-binarité dans les séries québécoises est plus récente que dans les séries américaines.
Elle jouera dans la nouvelle émission produite par Fabienne Larouche, Michel Trudeau et Guillaume Lespérance.
Critique Stéphane Dompierre signe une hilarante parodie de «slasher».
Après «Faits divers», Joanne Arseneau et Stéphane Lapointe se tournent vers le drame avec «Une affaire criminelle».
Les fictions d’ici tournées en temps de pandémie ont fait fi de celle-ci.
La bédéiste devient la troisième femme dans l’histoire du festival à obtenir cet honneur.