
Le chemin de croix des infirmières formées à l’étranger
Il pourrait s’écouler de deux à trois ans au minimum avant qu'elles puissent réellement soulager le système de santé.
Lisa-Marie Gervais est journaliste au Devoir depuis 2009. Elle a d’abord couvert l’éducation, dont les manifestations du Printemps érable en 2012, et s’occupe maintenant des dossiers touchant l’immigration et la diversité, avec un intérêt marqué pour les affaires internationales. Auparavant journaliste indépendante, elle a réalisé plusieurs reportages à l’étranger, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique. Polyglotte, elle détient un baccalauréat en journalisme de l’UQAM et une maîtrise de l’Institut d'études politiques de Paris. Elle siège au comité éditorial du magazine Nouveau Projet depuis sa fondation en 2012.
Il pourrait s’écouler de deux à trois ans au minimum avant qu'elles puissent réellement soulager le système de santé.
Elles s’estiment indûment mises de côté, prétendant que leur apport accélérerait beaucoup les démarches de Québec.
Réfugié en Ouzbékistan, un journaliste afghan craint que le sort de ses confrères ne tombe dans l’oubli.
«Si j’avais opté pour la vengeance, je ne serais peut-être pas vivant aujourd’hui.»
Le Centre de réfugiés n’a toujours pas digéré le refus de quatre dossiers déposés pour faire venir des familles.
Un projet d’oasis de ciel étoilé à Sherbrooke permettrait de voir la Voie lactée en pleine ville.
Deux familles viennent de poser leurs valises dans la ville québécoise. Le Devoir a rencontré l’une d’elles.
Un homme de Sherbrooke est devenu dépositaire de l’identité d’Afghans menacés par les talibans.
Les organismes qui accueillent des réfugiés sont «paralysés».
Des milliers de personnes n’ont pu être évacués avant le départ des Forces canadiennes.