Jonathan Allard est arrivé au Devoir en août 2016, où il a fait son nid d’abord comme pupitre numérique, puis comme journaliste à la recherche dans l’équipe vidéo. « Gamer » dans l’âme, il s’intéresse aussi aux enjeux scientifiques et aux relations internationales. Pour capter son attention, c’est simple : parlez-lui de jeux vidéo, d’exploration spatiale, de changements climatiques ou encore de géopolitique. Il ne cache pas non plus un petit faible pour le journalisme de données. Il détient un baccalauréat en études politiques et relations internationales, ainsi qu’un diplôme de deuxième cycle en journalisme.
On remarque un écart marqué dans la manifestation des symptômes d’anxiété ou de dépression entre les gars et les filles.
Incursion au sein d’une rare initiative permettant aux garçons de parler de santé mentale, à la Maison d’Haïti.
L’autrice du livre «Cet exécrable corps» présente sa démarche qui lui a permis de mieux cerner la haine de soi.
Entretien avec deux experts afin de mieux comprendre comment notre relation avec l’information s’est transformée.
Entre incertitude et espoir, les mines suscitent des questionnements chez les habitants.
Le cas d’une jeune fille trans battue à Alma n’est pas unique. Zoom sur son combat et celui de la communauté trans.
Des entreprises exploitant des ressources en Afrique ne s’intéressent aucunement aux Africains, déplore Mariann Bassey.
À quoi pourrait ressembler le climat dans 100 ans? Un modélisateur du climat a offert ses prévisions au «Devoir».
«Le Devoir» accompagne un ex-superviseur du SPVM pour mieux comprendre ce qui motive certaines interceptions routières.
Sherazad Adib se souvient de son Téhéran natal comme d’un endroit de liberté et de rassemblements en famille.