
Les Québécois voient la lumière au bout du tunnel
Ils sont moins de 10 % à penser que le pire de la crise est encore à venir.
Jean-Louis Bordeleau est passé par les salles de rédaction de Radio-Canada de l’Est-du-Québec avant de se joindre au Devoir. S’exprimant en français, en anglais, en russe et en arabe classique, il est maintenant rattaché à la section des actualités en tant que généraliste. Il écrit sur des dossiers aussi variés que la pandémie, la guerre en Ukraine et l’immigration partout au Québec.
Ils sont moins de 10 % à penser que le pire de la crise est encore à venir.
La Cour suprême a récemment acquitté un suspect, car étant intoxiqué, «il n’avait aucune maîtrise de ses gestes».
La première tentative montréalaise d’implanter ces engins avait suscité de nombreuses critiques.
L’achat de services sexuels est trop banalisé au pays, croit la sénatrice québécoise indépendante Julie Miville-Dechêne.
La grogne qui montait au sein de l’APN avait éclaté au grand jour jeudi.
La tension grandit au même rythme que les files d’attente devant des centres fédéraux de passeports.
Québec espère extraire du magnésium, du nickel et de la silice à partir des centaines de millions de tonnes de résidus.
L’UQAM, l’Université Concordia et l’Université Laval ont déjà pris des engagements de désinvestissement en ce sens.
En parallèle, deux nouveaux musées à propos des camps de la mort verront bientôt le jour à Montréal et Toronto.
Il s’agit d’un vaccin dit « bivalent », qui cible à la fois la souche originale de Wuhan et la souche Omicron BA.1.