
Embellie dans le nombre de cas de COVID-19 à Montréal à la fin septembre
On a recensé 1000 cas de moins que lors des deux premières semaines du mois.
Isabelle Paré est journaliste au Devoir depuis 30 ans. Diplômée en droit, elle a assuré la couverture de plusieurs secteurs de l’actualité au fil des ans, dont la politique municipale, les affaires sociales, l’éducation, la santé et la culture. Elle supervise et participe aujourd’hui à l’élaboration du contenu des dossiers hebdomadaires. Avec un intérêt accru pour les reportages de fond, elle continue de couvrir divers sujets d’actualité. Elle a remporté un prix Judith-Jasmin («Reportage long – Presse écrite») en 2000.
On a recensé 1000 cas de moins que lors des deux premières semaines du mois.
Plus que la COVID-19, des soignants doivent combattre la défiance de certains jeunes non vaccinés.
«Ils sont souvent à “minuit moins une”», constate l’intensiviste Joseph Dahine.
La très vaste majorité était non vaccinée ou seulement partiellement protégée, estime-t-on.
Des experts mettent en garde contre l’abandon des gestes barrières.
Cette hausse de cas s’explique par la multiplication d’éclosions en services de garde et dans les écoles primaires.
Plusieurs experts plaident pour le maintien des mesures barrière.
Plusieurs écueils compliquent le recrutement du personnel dans le Grand Nord, accentuant la pénurie.
Plusieurs pays du nord de l’Europe ont toutefois résisté à la tendance.
Chronique Du Vietnam aux États-Unis, la double réalité des non vaccinés.