
La moitié des soignants de première ligne ne sont toujours pas vaccinés dans le Grand Montréal
Alors que la menace d’une troisième vague dopée aux variants plane, le réseau de la santé demeure fragile.
Isabelle Paré est journaliste au Devoir depuis 30 ans. Diplômée en droit, elle a assuré la couverture de plusieurs secteurs de l’actualité au fil des ans, dont la politique municipale, les affaires sociales, l’éducation, la santé et la culture. Elle supervise et participe aujourd’hui à l’élaboration du contenu des dossiers hebdomadaires. Avec un intérêt accru pour les reportages de fond, elle continue de couvrir divers sujets d’actualité. Elle a remporté un prix Judith-Jasmin («Reportage long – Presse écrite») en 2000.
Alors que la menace d’une troisième vague dopée aux variants plane, le réseau de la santé demeure fragile.
Plus de 41 000 d’entre eux ont été infectés par le coronavirus.
La pandémie a mis à mal la santé mentale et le bien-être de bien des Québécois.
Ici, la COVID ne fait pas relâche et l’on ne croit plus aux arcs-en-ciel depuis longtemps.
Les dégâts de la COVID-19 chez les aînés ne se limitent plus aux CHSLD.
Exacerbée par la pandémie, la détresse des jeunes adultes est directement liée à l’appui à la radicalisation violente.
Bien des Québécois ont évité les hôpitaux, certains au prix de leur vie, de crainte d’y contracter la COVID-19.
Québec confiera des scans et des IRM au secteur privé pour accélérer le diagnostic des patients.
Un comité de l’INSPQ recommandera bientôt de resserrer le contrôle des contacts.
Près de 40 000 infections plus tard dans le réseau de la santé, Québec resserre la vis.