
Les chefs de parti courtisent les environs de Toronto dès le jour 1 de la campagne électorale
Quatre chefs de parti étaient mercredi dans ce territoire comptant 40 % des sièges de la législature ontarienne.
Étienne Lajoie couvre les enjeux socio-économiques touchant les francophones de l’Ontario depuis 2021. Il vit à Toronto, où il a précédemment travaillé pour Radio-Canada Ontario et pour le magazine «The Walrus». En tant que pigiste, il a publié des articles dans le «New York Times», «The Athletic», «Toronto Life» et «Vice Québec». Il est aussi le producteur de l’infolettre «The Sunday Long Read». Il est diplômé en journalisme de l’Université Concordia.
Quatre chefs de parti étaient mercredi dans ce territoire comptant 40 % des sièges de la législature ontarienne.
Survol des enjeux et dossiers à surveiller d’ici le 2 juin.
Le taux de participation électoral ontarien est l’un des plus bas au Canada.
Organismes et politiciens de la région se mobilisent pour recruter davantage de médecins.
L’établissement, qui était associé à l’Université Laurentienne jusqu’à l’an dernier, veut devenir autonome.
Divers partis à l’extrême droite se disputeront le vote des membres du mouvement anti-mesures sanitaires.
La campagne électorale qui débute la semaine prochaine ne compte aucun chef bilingue.
Le document ne sera vraisemblablement pas adopté d’ici la dissolution du parlement
Malgré un mandat en montagnes russes, le premier ministre ontarien part en position de tête.
Le parti d’Andrea Horwath reste toutefois avare de détails quant à son offre aux Franco-Ontariens.