
La Chine veut garder les ponts économiques avec l’Occident
L’ambassadeur chinois au Canada n’a pas cédé un pouce aux détracteurs des politiques de son pays, mardi, au CORIM.
Éric Desrosiers est journaliste au Devoir depuis 1998. Il s’est joint à la section économie en 2001. Outre l’actualité, il s’intéresse notamment aux impacts économiques, politiques et sociaux de grands phénomènes tels que la mondialisation, l’ascension des économies émergentes, les défis du développement durable, les nouvelles technologies et le choc démographique. Politologue de formation, il est passé par l’Université Laval (baccalauréat), l’Université McGill (maîtrise) et l’Université de Montréal (doctorat). En 2016, il a reçu le Prix d’excellence en journalisme économique et financier québécois.
L’ambassadeur chinois au Canada n’a pas cédé un pouce aux détracteurs des politiques de son pays, mardi, au CORIM.
Les Canadiens prévoient une augmentation importante de leurs dépenses dans la prochaine année, selon un sondage.
L’économie canadienne a regagné plus de 300 000 emplois au mois de mars.
Avec les Américains désormais à bord, certains rêvent déjà d’un accord entre les pays du G20.
Elles le font aussi vite qu’elles s’en croient financièrement capables, rapporte un sondage.
Moins de 5% d’entre elles ont prévu d’investir dans les énergies renouvelables en 2021, selon de récentes données.
Les plus touchées par les mesures sanitaires ont fait face à une baisse considérable de leur rentabilité.
Ces entreprises sont souvent présentées comme des baromètres de la situation du français au Québec.
Les gouvernements du monde devront notamment améliorer leur filet social, selon le FMI.
Cela passe par un «blitz» dans le branchement des Québécois à Internet haute vitesse.