
Ce « iel » qui dérange et qui dégenre
L’entrée du pronom « iel » dans les dictionnaires québécois n’est pas pour demain.
Catherine Lalonde signe des critiques de danse depuis 2008 au Devoir, où elle est aujourd’hui reporter à la culture, spécialisée en arts vivants, en livres et en politiques culturelles. Formée en danse contemporaine, elle poursuit discrètement cette pratique. Elle écrit de la poésie (Cassandre, 2005; Corps étranger, 2008, prix Émile-Nelligan; La dévoration des fées, 2017) et parfois des paroles de chansons.
L’entrée du pronom « iel » dans les dictionnaires québécois n’est pas pour demain.
«Dune» et «Maria Chapdelaine» redeviennent des succès de librairie. L’écran serait-il le déploiement idéal du livre?
La pandémie a-t-elle changé l’ADN des salons du livre? Tour de piste, au moment où ils reprennent.
L’Académie des lettres du Québec remettait mardi soir ses prix littéraires en roman, poésie, essai et théâtre.
Des groupes de défense du patrimoine tentent de s’organiser pour empêcher la transaction.
L’argent est au rendez-vous. La prévisibilité reste insuffisante.
La confusion entourant des mesures de soutien financier cause plusieurs annulations.
Le spectacle vivant perd ses sens avec les mesures sanitaires. Comment alors ramener le spectateur en salle?
Malgré l’assouplissement des mesures sanitaires, le public reste froid.
Rémy Bélanger de Beauport revient en musique, un an après l’attaque au katana du Vieux-Québec.